1er mai 1921 : création de La Commission des liqueurs de Québec. L’État gère et contrôle le commerce des vins et des spiritueux, et émet des permis pour les hôtels et restaurants. La bière domestique reste en vente libr La CommissionOn vient en grand nombre de l’Ontario et des États-Unis visiter les attraits du Québec... et en particulier les succursales de la Commission! SuccursaleLe client doit passer par un comptoir grillagé, ressemblant à un confessionnal, et choisir son produit à partir d’une liste affichée au mur. Sa bouteille lui est remise enveloppée |
Qualité contrôlée La Commission a un laboratoire où le chimiste contrôle la qualité de plus de 2 155 produits. |
L’envol des bulles Durant les Années folles, les Québécois rêvent d'une vie plus agréable. En effet, tout le monde veut s’amuser et c’est le début des Années folles! Le mousseux et le champagne ont la cote et coulent à flot dans les cabarets, influencés et visités par plusieurs musiciens des États-Unis. Vin sans limite Jusque dans les années 30, il est interdit d’acheter plus d’une bouteille de « boisson forte », alors qu’on ne limite pas les ventes de vin. |
Un véritable paradis pour les touristes La prohibition aux États-Unis, jumelée à la crise économique, aura des répercussions sur les revenus de la Commission. |
Chacun son effort de guerre Les distilleries fournissent l’alcool qui sert à fabriquer des munitions et autres nécessaires de guerre. La population est donc appelée à diminuer sa consommation d’alcool et recevra des coupons de rationnement octroyés par la Commission : limite de 40 oz d’alcool par deux semaines, par client. |
Chacun son effort de guerre Les distilleries fournissent l’alcool qui sert à fabriquer des munitions et autres nécessaires de guerre. La population est donc appelée à diminuer sa consommation d’alcool et recevra des coupons de rationnement octroyés par la Commission : limite de 40 oz d’alcool par deux semaines, par client. |